Melle K
Melle K
J’ai pour pseudo Melle k et si on m’avait dit un jour que je participerai un blog dédié à ma relation SM à la demande de mon Maître, j’aurais bien ri au nez de la personne qui m’aurait dit ça. Depuis que j’ai commencé à apprécier les plaisirs du sexe, les relations D/s ont toujours été quelque chose que je trouvais plutôt effrayant. Alors pourquoi suis-je là, aujourd’hui, à écrire ce blog? Petite explication : j’ai eu un conjoint qui aurait surkiffé me voir en domina sadique et perverse vêtue de cuir et de latex. Très peu pour moi mais ses désirs m’ont amené à m’intéresser à cet univers. Je me suis ainsi rendue compte que j’aimais déjà en partie le SM mais que je ne le savais pas… Etre attachée, avoir les yeux bandés et recevoir une fessée pendant l’acte m’ont toujours beaucoup excitée. Il me semblait même naturel que ça fasse partie du jeu. J’aime jouer, de toute façon, que ce soit à des jeux de société avec des amis ou dans la chambre avec un amant. Puis bon, étant célibataire depuis plusieurs mois, je commençais franchement à m’ennuyer. Je me suis donc inscrite sur deux sites de rencontre. Je cherchais à rencontrer quelqu’un qui saurait pimenter quelques-unes de mes soirées sans me prendre la tête. Je voulais m’amuser un point c’est tout. Via ces sites, j’ai été contactée par plusieurs hommes mais je n’en ai rencontré que quatre d’entre eux. Le premier s’est montré être un amant classique et très doué avec qui j’ai passé un bon moment, j’ai réalisé avec lui à quel point les plaisirs de la chair me manquaient. J’ai aussi réalisé que malgré mes formes plutôt généreuses, je pouvais séduire et que c’était même un atout! Puis il y en a eu un autre, un peu trop brutal dans ses caresses mais mon Dieu, un cunni à tomber par terre!! J’ai ensuite été contactée par Maître Al. C’est un Maître expérimenté qui m’a proposé de m’initier aux plaisirs su SM dans le respect des limites que je pourrais avoir évidemment. Nous nous sommes rencontrés tout d’abord pour une soirée sans engagement. A prendre ou à laisser. J’ai pris. Mon corps n’avait jamais autant frémi sous les caresses d’un homme. J’ai mis une semaine à accepter sa proposition. J’ai été très surprise de découvrir autant de nouvelles sensations. Je l’ai été d’autant plus que j’ai 26 ans et Maître Al en a 49. J’avais toujours été attirée par des hommes plus vieux que moi et je n’aurais jamais cru pouvoir accepter une si grande différence d’âge mais je suis partie du principe que je m’amusais, je n’acceptais pas un demande en mariage ! Profitons des bonnes choses de la vie tant que c’est possible! D’ailleurs pour profiter un max j’ai rencontré un quatrième amant qui m’a paru bien fade et avec lequel je me suis ennuyée après ce que j’avais goûté avec mon Maître. Nous voici donc à la fin de la présentation des personnes.
Sur ce blog, vous trouverez la relation d’une soumise et de son maître dans son intégralité. Le début, l’évolution et un jour la fin. Description des séances et photos seront au rendez-vous.
Première rencontre
J’ai passé une journée ennuyeuse. Rares sont les journées où je fais aussi peu de choses. J’ai lavé et rangé la vaisselle. Puis Facebook. Mails et site de rencontres. Ah, adopte un mec… leur fameux moteur de recherche m’intrigue… aller, je tape « trouve-moi un coquin à Grenoble ». Bah quoi ? Je me sens seule. J’ai pas envie d’être seule ce soir et je sais depuis midi que je ne verrais pas mon amant ce soir. J’ai envie de câlins. J’ai envie de sexe aussi. Alors je mise sur adopte un mec. Je pense pas que ce soit possible de rencontrer quelqu’un par Internet en si peu de temps mais bon… qui ne tente rien n’a rien…bref. Résultats de recherche : Premier résultat : Maître Al. Première pensée : SM. Oublie. Mais quand même par acquis de conscience… j’ouvre le profil. Ce n’est pas explicite mais je sais très bien que je ne me suis pas trompée. Puis au regard de la « shopping list », je me retrouve dans cette description. Je regrette l’âge qu’il a. « féminité, abandon, volupté et cerveau » ont retenu mon attention mais à cause de la différence d’âge, je lâche l’affaire. Photo. Je sais pas. Position sexy mais j’aime voir le visage en entier. Ne le voir que de profil m’intrigue… bon non, tant pis. Hé ho 49 ans, ça pourrait être ton père cocotte. Puis je reçois un charme. Pourquoi pas au moins discuter. J’accepte. Plus tard, je reçois un message, enfin que dis-je un message, un « mot doux »… « Salut la coquine » Je joue le jeu « Salut le coquin » « J’aime les femmes sans tabou, sensuelles, coquines, obéissantes » Dans ma tête : « obéissante » même pas en rêve. Mais le reste oui, oui, oui Ma réponse : « et bien moi je suis tout ça sauf obéissante et pour accentuer l’espièglerie ! « Cela s’apprend » Ok. Au moins on sait de quoi on parle, ça a le mérite d’être clair. « Déjà essayé ?» Non merci…A la limite, être attachée, les yeux bandés pourquoi pas mais les relations D/s plus poussées ne me branchent pas. « Je suis coquine y’a pas de souci mais je suis plutôt sexe vanille » « Je prends aussi pouvons continuer par sms suivi du numéro de tel portable » 10 minutes plus tard. « Pas envie ? » Si, en fait, très envie mais j’avais pas vu. Hésitation quand même. Aller, t’as rien à perdre. Vas-y ! Bon et bien on y va. Échanges de messages qui commencent vraiment à m’exciter… de toute façon, j’ai été excitée toute la journée… « Suis à Grenoble et libre ce soir. » « Moi aussi suis libre » Puis le fameux « je t’appelle ». Alors là, un peu de flip, beaucoup prise au dépourvu, les autres ne m’appellent pas d’habitude. Merde, merde, merde. J’ai pas mangé et c’est le bordel chez moi. Putain, putain, putain. Je commence à envoyer « attends je fais à manger, je t’appelle dans 2 minutes ». Pas le temps, le téléphone sonne. Je décroche. Et là je me sens comme une conne vu que je lui fais répéter 3 fois ce qu’il me dit. Merde, il va perdre patience et raccrocher. Non ça y est j’ai compris « Alors comme ça on drague les vieux? » Oui enfin d’habitude non mais là je sais pas, je me dis pourquoi pas. Tu as de l’expérience et moi j’en manque. Je peux sans doute apprendre des choses. Je ne le savais pas encore mais je n’allais pas être déçue de cette rencontre. On se dit là où on habite. Et là je pense : non mais tu vas vraiment faire ça ? Tu ne le connais pas ? Il a le double de ton âge et en plus, tu sais qu’il va vouloir te soumettre. Tu ne veux pas être une femme soumise quand même ? Mais qu’est-ce que tu fais ? Réfléchis. Vite et bien. Oui ou non. S’il vient te chercher pas question que tu fasses marche arrière. Oh et puis merde t’as qu’une vie, vas-y ! Eh ben voilà, on y est. Bon t’es déjà habillée sexy. Check On rajoute un peu de parfum. Check Une veste il ne fait pas chaud Manger. Check Clés de l’appart. Check Portefeuille. Check Pilule et capotes. Check Je pars, je suis pas en avance. Le tram va me faire gagner du temps et limiter l’usure de mes pieds. Pas de bol, des travaux sont en cours, pas de tram, magnifique. Bon, on se retrouve quand même. Je vois arriver une camionnette et je me dis non, ça peut pas être lui, c’est bizarre, je vais finir à l’arrière, ça ne me va pas du tout. Bon, ça se passe. « T’as vu le carrosse ? » Il a le don pour me mettre à l’aise. Un peu stressée quand même mais bizarrement excitée. Qu’est-ce qui va m’arriver ? Qu’est-ce que ça va donner ? Putain t’es complètement folle ! Arrivés dans l’ascenseur, il me tend les mains, je les prends. Geste simple mais qui me rassure énormément. Et il m’embrasse. J’aurais aimé que ça dure plus longtemps mais je n’ose pas être demandeuse. En fait, je suis déjà sous son emprise même si je ne veux pas l’admettre. Arrivée dans son appart. Wahou ! Qu’est-ce que c’est grand ! Il y a un balcon, j’aurais bien besoin de prendre l’air, j’ai le souffle court. Septième étage. Septième ciel. Joli jeu de mots Monsieur. Ah on a une belle vue du septième étage mais j’ai un peu le vertige. Il m’invite sur son balcon et se glisse derrière moi en me caressant les seins. Je succombe déjà alors qu’il me touche à peine, bon sang qu’est-ce que ça va donner ? Mon string est déjà en train de se mouiller. Bon bah laisse-toi aller y’a plus que ça à faire : profiter. Ça va bien se passer. Et puis t’en as envie, hein ? De t’abandonner et plus penser à rien. Bon alors voilà. Et si on rentrait ? J’ai l’impression que je vais tomber de ce balcon tellement je ne contrôle plus mon corps. Direction le canapé. « On va essayer toutes les pièces… » Eh bah ça promet ! Si déjà à la première je suis dans cet état-là…Allez y je vous’ appartiens, mon corps vous appartient, faites ce que tu voulez. C’est vous qui avez l’expérience, je ne demande plus qu’à devenir une toute petite chose sous tes mains expertes. Vos mains sur mes seins, votre bouche qui se perd dans mon décolleté et vos caresses sur mes cuisses. Puis vous m’allongez sur le canapé, les mains au-dessus la tête, je ne suis pas attachée mais je veux rester comme ça. La robe en moins, mon corps encore plus exposé, je suis de plus en plus excitée et je pensais vraiment pas que c’était possible !! Et je ne suis pas au bout de mes surprises. Encore quelques caresses et direction la cuisine pour un verre d’eau. Et puis vous me dirigez vers la table de ta cuisine, super haute, elle m’arrive aux seins ! « Mets tes bras dessus et cambre-toi. Ouais tu as une belle croupe » Merci même si moi je n’aime pas mes fesses, c’est agréable d’être valorisée. Des caresses sur les fesses mais je sens déjà que ça ne va pas durer. Ça ne loupe pas, au bout de quelques secondes, je sens une claque sur ma fesse gauche, puis à droite, puis des caresses. Et encore des fessées. Plus fortes. Elles augmentent mon désir. Oh bon sang, pourquoi est-ce si bon ??? Et puis ses mains me prennent les hanches et il me met des grands coups de boutoir tout en gardant ses vêtements. J’ai tellement envie qu’il me prenne tout de suite mais il n’en fera rien. Puis il me demande de m’allonger par terre. Je ne suis pas contre mais je refuse par défi, si je suis trop docile, ce ne sera pas drôle. Il m’attrape et me plaque au sol. C’est froid mais il fait tellement chaud de toute façon, c’est plutôt agréable, ça contraste avec la chaleur de son corps qui me maintient allongée. Ses mains et sa bouche jouent avec mes seins, alternant entre caresses, mordilles, pincements, ça devient tellement intense que je sens mon string se mouiller. Et puis sa langue sur mes oreilles, c’est bien plus agréable que je ne l’imaginais. Il me titille jusqu’à ce que je crie, que mon corps convulse sous tant de plaisir…Micro-pause pour se relever et m’emmener jusqu’à sa chambre. Ah un lit ! Et un balcon. Mais celui-ci ne m’attire pas. J’ai très envie de m’allonger et de me laisser faire, qu’il me dirige et me dise quoi faire. Pour une fois je me laisserais bien faire. Peut-être que j’ai envie d’être soumise au final. J’ai un peu zappé ce qu’il s’est passé parce que j’étais dans un état second mais je me rappelle très bien m’être retrouvée à quatre pattes, les fesses en l’air à attendre que la fessée tombe puis j’ai senti qu’il jouait avec mon string et que ça m’excitait trop. Je ne suis plus que désir et attente, je ne réfléchis plus. En fait je ne sais même plus où je suis. Tout ce que je sais c’est que je suis en transe, c’est trop bon. Il y a eu son sexe dans ma bouche, mes lèvres sur tout son corps, vraiment tout son corps de la tête aux pieds. Il a une grosse queue, j’ai envie qu’il me prenne, qu’il me tienne par les hanches, je désire une levrette plus que tout. Et je l’obtiens avec à nouveau quelques claques sur mes fesses qui augmentent mon désir et mon plaisir. Puis je suis dans ses bras, très tendres, qui me caressent. Ma tête sur son torse. Je me rappelle qu’il m’a dit que j’avais tendance à être docile, qu’il le voyait avec mon corps. Je sens sa bouche, ses lèvres et sa langue qui descendent entre mes cuisses. Des léchouilles et des claques sur ma chatte, pas trop fortes, dosées juste comme il faut. En fait tout est tellement confus maintenant que je ne sais plus si ça s’est passé avant ou après la levrette mais je sais que je n’avais jamais pris autant de plaisir avec un cunni. Dans les derniers instants, je m’occupe de lui, de l’embrasser, le lécher sur tout son corps à nouveau puis le sucer en le laissant me dire comment bien faire. Puis il vient sur mes seins, je sens son foutre se déverser. Mouais bof, ça n’a jamais été mon truc mais ça passe. Une douche. Se rhabiller et Monsieur me raccompagne. Il me raccompagne jusque chez moi, montre à mon appart. J’ai franchement honte de l’état dans lequel je lui montre mon chez-moi. Il me dit bonsoir, m’embrasse et part. À ce moment-là, je ne m’étais pas encore décidée à le revoir mais ma curiosité de ce que je pourrais apprendre l’emportera.
Obligations, les obligations font partie du rôle de soumise… Voici quelles sont les miennes. Mon Maître m’oblige à lui offrir l’intégralité de mon corps. Cela implique que je lui offre ma bouche, mon sexe et mon cul. J’étais franchement pas chaude pour lui offrir mon cul… En effet, j’ai toujours eu un rapport compliqué à la sodomie. D’abord, j’ai longtemps perçu cette pratique comme un signe de soumission extrêmement fort et je refusais de me montrer soumise avec mon premier amant. Au final, à force de discuter, j’ai fini par relativiser et me dire que c’était une position comme une autre. J’ai donc essayé avec mon ex-conjoint. Il y a eu une ou deux fois où c’était très bien, très excitant mais beaucoup de fois où c’était vraiment horrible et je ne ressentais aucun plaisir, dû au fait qu’il était inexpérimenté et aussi que mon désir pour lui s’amenuisait de jour en jour. À présent, mon Maître m’éduque pour que j’y prenne du plaisir et c’est bien parti. Pour ce qui est de lui offrir ma bouche, j’ai toujours aimé sucer mes amants mais je n’avais que peu d’expérience et je ne savais pas avaler. Je n’avais pas l’habitude de le faire et j’étais à peu près certaine que j’allais en avoir trop plein la bouche et m’étouffer. Dis comme ça, ça peut paraître ridicule mais je ne me sentais vraiment pas à l’aise avec ça. Je pense que je ne suis pas la seule nana à craindre cette demande venant d’un amant, la peur de ne pas savoir faire et le décevoir est assez terrible et difficile à exprimer mais au final c’est une question d’habitude et justement de ne pas stresser. Mon Maître m’apprend donc à être meilleure et je dois dire que je suis plutôt contente de pouvoir m’améliorer. Lui offrir mon sexe est un plaisir, que ce soit pour ses doigts, sa langue ou sa queue. Au cours de la dernière séance, mon Maître m’a donné une nouvelle obligation. Sans doute liée au fait que je ne suis pas très à l’aise avec ma nudité. Je dois dès à présent ne plus porter de culotte lorsque je suis chez moi. Jusqu’à nouvel ordre. Si toutefois il y a un jour un nouvel ordre. Bizarrement, je ne me sens pas si gênée que ça de ne pas porter de culotte mais de savoir que c’est une obligation est très excitant. Il pourrait venir à n’importe quel moment, je serais prête pour lui, totalement offerte.
Attachée, Depuis bientôt un mois j’observe cette plume en me demandant ce que que Maître vas bien pouvoir en faire…Maître a un peu de retard. Ce qui bien sûr augmente mon excitation. Mais il finit toujours par arriver. Bonjour. Café. Quelques caresses sur mes seins font encore plus croître mon excitation. Maître me demande de me mettre à genoux pour faire quelques photos de moi. Je verrais plus tard que les photos sont très réussies et que je me trouve plutôt jolie, presque belle dessus, ce qui est très rare puisque je ne me trouve pas vraiment photogénique. Je me relève et il vient se placer derrière moi pour me déshabiller. Lentement mais efficacement. J’ai très envie, depuis un moment d’être attachée avec une corde et de subir les idées les plus perverses de mon Maître. Être attachée ainsi nécessite de la préparation. Le Maître me passe deux bracelets de cuir autour des poignets. Il commence par accrocher la corde au gond de la porte manquante chez moi. Les bracelets ont des anneaux à l’intérieur desquels la corde rouge passe puis les ajuste afin que mes mains restent au-dessus de ma tête. Maître enroule ensuite la corde autour de mes seins. J’observe sa concentration et son sérieux. De mon point de vue, c’est rassurant de le voir ainsi à l’œuvre. Quoi qu’il arrive, je sais que je suis en sécurité. il finit en faisant passer la corde sur ma chatte, la fais passer dans mon dos puis la fais revenir devant en faisant un nœud entre mes deux seins. Il m’effleure avec ses mains, et prends la plume. Il la fait glisser sur mes bras puis descends sur mes seins, sur mes cuisses. Dans mon dos. C’est là. Juste là sur le côté du dos. Ça me fait un effet terrible. Un frisson me parcourt tout le corps au moment où la plume effleure cet endroit. Je suis excitée, il le voit et le sens. J’ai voulu savoir ce que vous ferez avec cette plume. Eh bien maintenant je le sais. Des chatouilles sur l’intérieur des bras jusqu’aux aisselles. Puis des frissons partout jusqu’entre les cuisses. Il touche ma chatte pour voir de plus près dans quel état je suis. Ouh la la, je vais tremper la corde, c’est en bonne voie… alors maintenant il joue avec la corde, la frottant lentement contre mon sexe pour m’exciter encore plus. Il arrête alors que je pourrais presque jouir à ce moment-là, il contrôle mon plaisir. Je le vois prendre un objet. La cravache. La dernière fois qu'il l’avait utilisée, j’avais les yeux bandés. La sensation n’a rien à voir, j’ai carrément l’impression que ce n’est pas la même. Pourtant Maître m’assures que si, c’est bien la même. Il dirige lentement la cravache sur mon corps en partant de mes chevilles. Je redoute le moment et l’endroit où elle va claquer… premier coup sur le sein gauche. Et le droit. Et ma chatte. Et à nouveau en alternance sur chaque sein. Puis me demande de tirer la langue. Et un petit coup sur la langue. Quelle horrible sensation. Je n’apprécie pas du tout ce moment. Je replace ma langue à sa place dans ma bouche. Et il me demande de la tirer à nouveau. Je dis non et tourne la tête. Il me fait tourner le visage vers lui avec la cravache. Je finis par abdiquer mais je ne sais plus pourquoi. Et il recommences sur les seins. Et Maître vient les lécher et les mordiller. Bon sang que cette torture est exquise!! Je sens que ma chatte est déjà trempée quand il sort une mystérieuse boîte dans laquelle il y a tout un fouillis impossible à distinguer sans mes lunettes sur le nez. Il en sort un objet qui ressemble à une seringue. En fait, c’est est une mais il n’y pas d’aiguille dessus. Ouf! Mais à quoi ça va servir??? La réponse est quasiment immédiate puisque il la poses sur mon téton gauche et tu aspires légèrement, de façon à ce qu’il soit prisonnier de cette seringue et contraint de se gonfler. Je sais qu'il fait autre chose avant de mettre une autre seringue sur le téton droit mais pour le coup je ne me souviens que de la douleur occasionnée et de mon étonnement à voir mes tétons grossir autant. La douleur est intense mais je sens qu’elle va m’amener à ressentir encore plus de plaisir par la suite. Il joue encore un peu avec la plume et puis me détaches. Maître enlèves la corde qui passe entre mes jambes et autour de mes seins mais laisse mes poignets entravés. Je peux à présent m’allonger sur le lit sur le dos évidemment puisque j’ai toujours les seringues sur les tétons…
Il s’allonge au-dessus de moi et continue à jouer avec mes seins sans enlever les seringues. Mon excitation augmente, je sens que ça dégouline entre mes cuisses. Et puis me prévient que ça va me faire mal parce qu'il va enlever la seringue sans ménagement. Vu que je suis prévenue, je m’attendais à une douleur plus grande mais c’est vrai que ça ne fait pas du bien. Et presque instantanément sa bouche est sur mon sein à le sucer et le mordiller. Ok. il va me faire jouir comme ça en fait. Juste en me jouant avec mes seins. Ses mains prennent le relais et puis encore sa bouche et sa fine barbe dure. Et il passe à l’autre sein pour enlever l’autre seringue. Aïe. A nouveau. Puis encore sa bouche, ses mains et des coups de reins contre mon bassin sans pénétration… Je jouis, je jouis sans pénétration , j'hallucine, c'est une première poi moi. Maître me laisse me remettre un peu et me demande de venir m’occuper de lui. Je l’embrasse, enfouis mes lèvres dans ton cou et commence lentement à descendre… Je bisouille et lèche ton torse. Puis mordille et aspire un peu tes tétons aussi. Pendant qu'il me caresse les cheveux ou les tire au gré de ce de ses envies. Je continue à descendre jusqu’à la limite de son pantalon que j’enlève. Puis je ne tarde pas à enlever ton caleçon non plus. Je fais encore courir ma bouche sur ton bas-ventre avant de te prendre en bouche, le plus profondément possible dans ma gorge puis je le suce. Il me demande si j’ai envie qu'il me baise. Ouiiiiiiiiiii bien sûr. Mais il ne me fait pas signe d’arrêter de le sucer et j’y prends beaucoup de plaisir de toute façon. C’est par ma bouche qu'il me baise, je sens alors son foutre chaud et salé emplir ma bouche et le long de ma gorge… et il me laisse à présent me reposer. Épuisée et pantelante. Merci Maître. c'est un obligation de remercie Maitre lorsqu'il me baise.
Si j’oublie, la punition sera terrible…
Convulsions, J’ai attendu bien trop longtemps pour écrire ce texte, je ne me rappelle pas de quoi on a parlé à ce moment-là. En revanche, je me rappelle très bien tout le plaisir que j’ai ressenti. Comme à chaque fois de toute façon. Allongés sur le lit, Maître prends le temps de me caresser comme d’habitude. En allant droit au but. Je suis déjà limite à jouir mais il t’arrête et prends un bon gros gode pour me pénétrer avec. Mon corps commence déjà à se tordre de plaisir… et mes gémissements suivent évidemment. Mais sur le dos, c’est pas assez intense, il veux que je jouisses plus, que je gémisse plus, que je ne puisse plus me retenir de crier. Je commence à comprendre que je suis totalement à la merci de ses désirs. Et en fait j’aime ça, j’aime cette idée de ne rien contrôler. Il me fait donc mettre en levrette. Le gode dans la chatte c’était déjà extrêmement bon mais là il en rajoute un dans mon cul. Je ne saurais pas dire quelle taille il fait mais je sais que tout le plaisir augmente et que j’ai du mal à croire que c’était possible. Assis à côté de moi, il s’amuse à faire des va-et-vient. Mon corps se contracte et frémit tout seul. Puis tu enlèves les godes et joues avec sa main… Avec sa main qui se glisse dans ma chatte et mon cul en même temps… A genoux à côté de toi, je m’accroche comme je peux à son cou et ses épaules parce que mon corps convulse littéralement. Même quand Maître arrête les va-et-vient, mon corps continue sa danse, le plaisir est trop intense, mon corps bouge tout seul. A tel point que lorsque je m’effondre sur le lit dans ses bras, je ne peux toujours pas m’arrêter de frémir pendant encore quelques minutes… Je ne crois pas avoir autant joui avant ce moment. J’espère évidemment que ce ne sera pas la dernière fois.
Des chaînes et des barres, « Tu t’es perdu en chemin ? » « Alors ça, ça mérite une fessée » Et cette délicieuse promesse ne se fait pas attendre. Paf! Une claque sur les fesses pendant que je prépare un café. Y’a quoi, 3 minutes que Maître est chez moi, et je suis déjà excitée. Je dois avouer que je suis toujours excitée lorsque je pense à Maitre ou que je l'attends. Je me retourne vers lui, m’attendant à ce qu'il m’embrasse mais vous n’êtes pas sûr que je le mérite alors il me fais attendre. Pas longtemps. Il m’attrape, me renverse, m’embrasse et me torture le clito tout en même temps. Ouais aucun doute que vous connaissez bien les femmes et leurs plaisirs. Aucun doute non plus que je suis entre de bonnes mains avec vous. Maître me fait venir sur ses genoux, cuisses écartées, face à toi. Il me dit qu'il va faire de moi sa chienne et que je vais aimer ça. Que je ne suis pas prisonnière mais qu’en fait si parce que je serais incapable de vouloir que ça s’arrête. Tout en tenant ce discours, il me caresse de partout : les seins, ma chatte, mon cul… et je suis déjà prête à tout abandonner, ne plus penser à rien. Il voudrais que je crie déjà mais j’ai besoin de temps pour que le désir monte à ce point-là. La nouveauté du jour, ce sont les chaînes qu'il sort. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Maître les délies avec délicatesse et entreprends de me les passer autour des seins. Une partie de la chaîne pend dans mon dos. Il me dit de m’allonger sur le dos et viens t’allonger sur moi. La torture exquise commence. Il reprend les mêmes seringues que la dernière fois. Et sur les tétons pour les faire devenir très sensibles. Ça fait moins mal que la première fois. Puis cette fois-ci tu as une technique un peu différente. Il les laisse et les enlève et lèche ou pince mes tétons puis les remets. Et quand il les remets, il s’occupes d’autres parties de mon corps. Après avoir posé les seringues, Il met quelque chose sur mon clito. Je ne sais pas ce que c’est mais je m’en fiche. C’est intéressant comme sensation. Ça pince et en même temps ça pique et c’est excitant… C’est un mélange bizarre et prometteur de sensations fortes. Il s’occupe de me caresser le cul, ça m’excite terriblement, je n’aurais pas cru avoir autant de plaisir à cet endroit… Mais je resserre beaucoup trop les cuisses. Et il m’avait promis de m’amener quelque chose pour m’obliger à les écarter. Maître me dévoile alors cet objet. Une barre en métal avec à chaque bout une menotte en cuir réglable. La barre elle-même est réglable. Ainsi, il peux décider à quel écart j’ai le droit. Et il me menotte. Je suis terriblement à sa merci. Mais je n’ai absolument pas peur. De toute façon, ce n’est pas le but. Je sais que je vais prendre du plaisir, mais je ne sais pas comment. L’attente est si brève et pourtant si insupportable. Je sens qu'il enlève cette petite chose sur mon clito. J’aime qu'il l’enlève, je sens que mon clito a gonflé, que je suis bien plus excitée que je ne l’étais il n’y a quelques minutes. Il me caresse un peu avec ses doigts et vient ensuite me lécher. Oh bon sang, je donnerais n’importe quoi pour que Maître me baise là tout se suite. C’est incroyablement bon et trop d’un coup mais bizarrement pas assez non plus. Mais je ne dis rien. Pas tout de suite. Parce que je veux que ça continue encore. Il me « torture » avec sa main, avec des caresses sur mon clito et quelques pénétrations de ses doigts. Je crie, je hurle même je dirais, bref, je jouis violemment, encore et encore. Voilà, on y est: au moment où je ne réfléchis plus du tout. Ce n’est plus mon cerveau mais mon corps qui contrôle tout. Ou plutôt qui ne contrôle rien. Maitre se place ensuite au-dessus de moi et fais de faux va-et-vient avec ton genou contre ma chatte, ça m’excite tellement que je n’y tiens plus. « S’il vous plaît, baisez-moi Maître, s’il vous plaît ». Je le supplie. Il me dit d’accord et me mets un gode en verre dans la chatte. Et il s’assoit à côté de moi. Je vois bien que la situation l’amuse. Moi suppliante et frustrée, et lui décidant arbitrairement de mon sort. Il me laisse un moment de répit pour me remettre de cette accumulation de jouissance que j’ai eue jusqu’à présent. Vient mon tour de m’occuper de lui. Après avoir été libérée des seringues, des menottes et des chaînes. Je l’embrasse tout le corps de la tête aux pieds avant de te prendre dans ma bouche, aussi loin que je le peux, et c'est pas facile… Et je le suce jusqu’à ce qu'il m’arrête pour me demander de me mettre en levrette et me prendre ainsi. Je sens son énorme queue s’enfoncer en moi, Maître me baise enfin, je suis exaucée, humm c’est trop bon ça dure encore et encore. après il me demande de promener mes seins sur tout son corps, sur ton torse, sur ta queue. Et il veux que je le suce à nouveau. Et que j’avale. Je m’exécute. Et bien que pantelante sur la fin, je suis tentée d’en demander encore…
Début de week-end, C’est vendredi. je suis crevée. Le Maître vient me chercher à la sortie de mon boulot pour me ramener chez moi. Je n’ai aucune idée de ce qu’il veut pour l’instant ni de combien de temps il restera chez moi. Arrivés, je me déshabille quasiment tout de suite pour respecter mon obligation de pas porter de culotte. Je ne suis plus vêtue que d’un porte-jarretelles noir et des bas qui l’accompagnent. Le Maître s’allonge sur mon lit et je le rejoins pour câliner et discuter. Évidemment, les discussions ne sont que de courte durée puisque je sens bien qu’il veut me baiser. Alors il me chauffe et il finit par me le dire : « Je vais te baiser. Mets toi dans la position que j’aime ». Et bien, je ne vais pas me faire prier, moi aussi je kiffe cette position… La levrette!! Le cul bien en l’air , la croupe relevée , les bras écartés pour qu’il puisse me mettre toutes les fessées qu’il veut et qui m’excitent. Et puis sentir sa grosse queue qui me pénètre et me démonte!! Je dirais pas que j’en ai rêvé mais presque. Ma position préférée et ce soir je suis pas déçue du voyage, le Maître est bien excité et il me prend bien fort en me maintenant les hanches puis les épaules. Oh bon sang les épaules… Pourquoi ça me fait tant d’effet? J’en sais rien et là tout de suite je m’en fous complètement, tout ce que je sais c’est que je voulais me faire baiser et bien je me régale. Il me demande de bouger mon cul vers lui, il veut m’entendre crier, il me baise plus fort et plus intensément que jamais, c’est incroyablement bon… Merci Maître.
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